Au cours des années qui ont suivi la crise économique de 2008, les casinos se trouvaient dans de lourdes batailles. Cela fait 10 ans qu’ils essayent d’y remédier. En effet, malgré les chiffres d’affaires très importants perçus de ces palaces de jeux, les bénéfices sont moindres. Un investissement à haut risque que les dirigeants de ces centres prennent. Jean-François Cot, président du syndicat patronal Casinos de France affirme cette réalité.
Un marché difficile à l’encontre de ses rivaux
Regroupant les 50 % des casinos terrestres en France, Casinos de France forment en moitié les établissements de jeu situés dans le pays. D’après son président, les casinos depuis quelques années ont reçu un véritable traitement de choc. Le marché est très rude. Avec les autres groupes, qui tiennent place dans le marché, à savoir la Française des jeux en tête de ligne, la concurrence est devenue l’un des plus grands obstacles pour eux. Et encore avec les lois qui y sont établies. À cet exemple, l’interdiction de fumer, qui a probablement réduit le nombre des clients. Sans compter les taxes, qui augmentent de temps en temps. Ce qui rend les gains encore plus fins. Notamment, les risques sont grands pour les casinos à l’heure actuelle.
Les casinos terrestres : un atout pour l’économie
Parmi ces palaces de jeux établis dans la plupart des communes françaises, nombreux sont ceux qui obtiennent un rendement très médiocre. Face à la concurrence, les chiffres ne bougent pas, et diminuent même. Notamment, 83 établissements ont reçu ce déficit budgétaire. D’après les communiqués du syndicat, plus d’une vingtaine de ces maisons se trouveraient dans une situation difficile. Ils auront du mal à investir dans cette profession. Cependant, face à cette situation, le syndicat reste toujours positif. Au contraire, pour survivre sur le marché, ils vont passer à l’offensive et faire face à la concurrence.
Ces palaces de jeu offrent un réel divertissement à tout le monde, et ils constituent un patrimoine unique. Donc un vrai potentiel pour l’économie. Reste à savoir, comment ces centres vont-ils faire face à cette concurrence ? Et encore est-ce qu’ils vont s’en sortir ?