Deux ans plus tard après la France, l’Espagne a ouvert une régularisation de ses jeux en ligne. C’est parmi ces différentes plateformes de jeux que Pokerstars, PartyPoker, sportingBet et 888 ont été l’un des premier a bénéficié de la clientèle espagnole.
Malgré que la commission des jeux espagnole avait pourtant été très stricte sur la réglementation, les opérateurs ne se sont pas laissé impressionner. Les enjeux maximum sur les tables avaient été fixé jusqu’à 5€/10€.
Nous sommes en 2013, et les autorités Espagnoles ont affiché les premiers résultats. Le chiffre d’affaires en 2012 est très satisfaisant et beaucoup plus positif qu’on aurait pu l’espérer. L’Espagne aime le Poker et les jeux d’argent. C’est un fait. D’après ce constat encourageant, près d’une personne sur 3 joue sur une plateforme de jeu en ligne.
Loin encore derrière les chiffres de la France, l’Espagne ne se décourage pas. Elle a multiplié à elle seule, ce qu’elle a fait en un an par rapport aux chiffres de la France en 3 ans. Les joueurs sont beaucoup plus actifs et sont bien prêt à dépasser tous les records.
Le nombre de joueurs qui ont l’habitude de jouer avec franchise sur le net sont passés de 200.000 joueurs actifs à 1.000.000 de joueurs. Des chiffres évalués rien que sur un an. Une accélération très prometteuse et nettement positive que notre pays.
Mais voilà, l’Espagne connait ce succès pour plusieurs raisons : l’Espagne propose en effet le poker en ligne mais elle autorise aussi les entreprises étrangères à exercer sur son territoire. Les casinos en ligne tels que la roulette, les bandits manchots virtuels et tous les jeux interactifs continuent de proliférer et sont autorisés par le gouvernement Espagnol.
Comment peut-on expliquer cette forte augmentation de trafic et de résultats en moins si peu de temps ?
Tout est pourtant très clair. Une trentaine de licences de jeux ont été acceptées par le gouvernement dès la sortie de la législation des jeux en ligne.
On constate en premier que les espagnols aiment les jeux d’argent et sont inscrits sur au moins 2 plateformes. La seconde raison est qu’un citoyen dépense en moyenne autour de 650 euros à 750 euros par an dans les jeux en ligne que ce soit dans les casinos physiques ou virtuels.
La crise est pourtant très bien présente en Espagne et les gens jouent dans l’espoir de gagner. Il semblerait qu’ils veulent repartir avec leur vie à zéro et qu’il cherche un moyen de gagner de l’argent. Et pourtant, aucun d’entre eux ne laisse croire qu’ils ont une addiction aux jeux.
L’Etat qui demande une taxe fixe sur chaque licence qu’elle attribue aux opérateurs a récupéré cette année près de 140 millions d’euros. Les caisses sont remplies et vont faire la joie des gouvernements. Le marché semble aller vers un brillant avenir.
A en croire les autorités, les chiffres continueront de progresser d’ici 2013. La modernisation de la technologie et de la communication a permis aux citoyens espagnols de jouer tout en modérant leur responsabilité dans le jeu. Plus de 60% des joueurs achètent leurs billets de loterie sur Internet. Les choses se modernisent.
Le gouvernement Espagnol qui cherchait coûte que coûte un moyen de trouver de nouvelles ressources face à la crise financière aura gagné son premier pari.