Un accord vient d’être passé entre les autorités de régulations britanniques et portugaises. C’est ce qui a été annoncé récemment du côté de la commission des jeux britanniques. Il s’agit d’un protocole d’entente entre les deux pays qui vise surtout à faire des échanges d’informations assez importantes afin que les joueurs et les joueurs soient mieux protégés de la fraude et de l’addiction.
Le Portugal : un marché nouvellement régulé
Si le marché Portugal des jeux a été fermé en 2016, aujourd’hui, la machine est relancée. Cependant, le pays a voulu assainir ce secteur pour qu’il ne soit pas un point de rendez-vous de la criminalité et du déboire. C’est notamment pour cela qu’en mars 2016, le régulateur avait décidé de le fermer aux opérateurs le temps que la régulation se fasse. L’attente en vaut la peine, c’est ce que prouve Betclic-Everest qui a obtenu sa licence malgré l’attente.
Il a désormais la possibilité de proposer ses offres aux Portugais de manière tout à fait légale. C’est un réel avantage pour cet opérateur qui a pu en profiter. Effectivement, il est dans l’intérêt de ces plateformes de se conformer à la règlementation au risque de figurer dans la liste noire de cette commission et pire encore de ne pas avoir une licence sur un marché très prometteur. C’est pour poursuivre dans cette bonne volonté de vouloir un marché sain que l’autorité portugaise a effectué cette collaboration avec les Britanniques.
Pour des marchés plus protégés
C’est une coopération qui vient d’être établie entre l’autorité de régulation des jeux britanniques et celle du Portugal. Le but dans cette collaboration est surtout de protéger le marché et les joueurs grâce à un échange d’informations importantes. En effet, les deux pays souhaiteraient lutter plus efficacement contre les fraudes et l’addiction des jeux, car les chiffres sont de plus en plus alarmants. La signature s’est ainsi faite entre Sarah Harisson, qui est à la tête de la commission des jeux britannique, et Teresa Monteiro qui est aux commandes de la SRIJ ou Servico de Regulaçao e Inspeçao de Jogos.
Les deux parties souhaitent ensemble assainir le marché des jeux en signant cet accord. Toutes les deux veulent limiter les activités illicites et criminelles dans ce secteur qui est aujourd’hui en pleine expansion. Ce traité permettra aussi à ces deux autorités de mieux combattre contre le jeu des mineurs qui s’y lancent de plus en plus malgré les dangers. Il montre aussi une bonne volonté de la part des deux pays de proposer un cercle aussi sain que possible.