Une première année fructueuse pour le Casino Circus de Briançon

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Le casino de Briançon

Dans l’industrie des jeux d’argent, rien ne se perd et tout se renouvelle. Un véritable recyclage. À titre d’exemple, le casino de Briançon qui a appartenu au groupe Barrière a été mis en vente par celui-ci l’automne dernier. Le groupe estimait la baisse de rentabilité que ce casino est représentée. Pour compenser ce déficit budgétaire, il a décidé de le vendre. Puis la SFC (Société Française de Casino) ainsi que le groupe Circus Leisure de la Belgique ont conclu un partenariat pour le rachat du casino Briançon. La SFC et le Circus sont les gérants du casino dans tous les détails. Du secteur financier aux matériels informatiques. Afin de simplifier l’achat de Briançon, tous les deux ont pris l’initiative de ne pas interférer dans les affaires judiciaires qui opposent le groupe Barrière et Briançon.

Une grande rénovation pour relancer le chiffre d’affaires du casino

Afin d’indemniser le groupe Barrière, ce dernier exige 9,3 millions d’euros pour interruption soudaine des clauses du contrat. Lors des négociations de l’achat de la maison des jeux, les deux potentiels acheteurs ont insisté spécialement sur les démarches de l’exploitation du Briançon et rien d’autre. Étant donné que Circus est le responsable des jeux, celui-ci a commandé de nouveaux slots prêts à être utilisé en mai. Quant aux roulettes électroniques, leur livraison sera en juin. En somme, Circus Leisure et la SFC vont redonner du « peps » au casino de Briançon. Tout le personnel de l’établissement est conservé. Un vent de renouveau souffle sur Briançon. D’ici, la finalité du contrat en 2030, SFC et Circus comptent rénover totalement l’aspect intérieur de Briançon.

Le Casino connaît pour la première fois une progression

Cela fait deux ans que le président de la SFC Pascal Pessiot et le directeur de la société belge Sébastien Leclercq ont acheté ce casino prestigieux. Par ailleurs, les deux protagonistes affirment leur enthousiasme face au travail accompli. M. Leclercq souligne la difficulté de tenir un casino en montagne. Néanmoins, c’est devenu un casino très fructueux à ce jour. Il faut bien admettre qu’investir 1 million d’euros dans un tel projet est tout de même surprenant. Bien entendu, il y aura d’autres investissements de prévus. Le directeur de Circus explique que cette année, il y a un placement de 300 000 euros pour Briançon. Il faut savoir qu’une année fiscale débute du 1er novembre au 31 octobre. Selon l’éthique du groupe, réinvestir dans un projet est idéal pour gravir les échelons. Donc des machines seront remplacées continuellement. Pascal Pessiot poursuit l’élan de l’entretien en ajoutant que Briançon n’avait pas connu de mouvement financier significatif avant l’achat. À la saison du printemps, de nouvelles machines à sous, seront mises à la disposition des futurs joueurs.

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