Le troisième hôtel-casino de Downtown à Las Vegas sera construit sous la directive Derek Stevens. Cette merveilleuse ville fera parler d’elle à travers cette actualité. Voyons ensemble les détails de ce nouveau projet.
Un programme fort ambitieux
Les grands hôtels-casinos à perte de vue dans les rues très animées par les jeux sont les édifices propres de Las Vegas. Lorsqu’on pense à cette ville, l’argent et le plaisir nous viennent à l’esprit. Aux dernières nouvelles, un autre établissement à la fois hôtelier et de jeux siègera dans les locaux de Downtown. Une fois de plus, c’est un très bon présage pour la capitale mondiale des jeux d’argent de Sin City. En effet, le richissime Derek Stevens tire les ficelles de ce projet fort prometteur. Cet homme est ce que l’on appelle un régulateur de jeux important dans le secteur.
Étant le propriétaire-légataire du D Casino et du célèbre Golden Gate Hotel & Casino, déjà localisé à Downtown, celui-ci espère charpenter son nouvel écrin. Apparemment, le magnat des casinos aspire à l’expansion de son empire. Selon les sources recueillies, un potentiel de gains à 7 chiffres servira à la construction de son troisième nouveau palais de jeux. De ce fait, le futur établissement déploiera toute sa splendeur et sa noblesse en plein cœur du désert du Nevada.
Un complexe de 11 000 m² vraiment grandiose
Compte tenu de son emplacement tout de même judicieux, le complexe s’étalera sur le block délimité par Fremont Street et Main Street. Ainsi, l’ancien Las Vegas Club, le Mermaids Casino et le Glitter Glush céderont leurs places, qui leur a été attribuée à cette architecture moderne. Cela dit, ces structures ont été démantelées l’été dernier.
En revanche, la date d’ouverture et d’autres informations annexes n’ont pas été notifiées. Ce que l’on sait par contre, c’est le plan du casino, selon un reportage. Donc, l’infrastructure du bâtiment mesurera 140 mètres de hauteur. L’espace réservé au casino s’étendra sur 11 000 m². Quant à l’activité additive de l’édifice, il propose près de 777 chambres. C’est une affaire à suivre.
